Les Courses de chevaux, 1844. Horse racing. Les Chinois, qui ont les plus detestables chevaux de fiacre qu'il soit possible d'imaginer, ont reconnu la nécessité d'améliorer cette intéressante race de quadrupèdes. En consequence la Société Hippique de Pékin n'a cru pouvoir rien inventer de mieux que de créer des courses où les chevaux doivent franchir une lieue en quatre minutes. Assez souvent le chaval arrive à son but, mais jamais la société d'encouragement: attendu que le vainqueur est alors ramené en triomphe chez lui...Il est amélioré à perpétuité! (The Chinese, who have the most detestable carriage horses imaginable, have recognised the necessity of improving this interesting breed of quadrupeds. As a result, the Beijing Horse Riding Society decided there was nothing better than creating races where horses must cover a league in four minutes. Quite often the horse reaches his goal, but never the encouragement company: [?] because the winner is then brought home in triumph...He is improved for good!). From Voyage en Chine, plate 12.
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